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Soleil et chaleur

Durant l’été, la hausse des températures entraîneune sollicitation corporelle accrue pour le personnel travaillant en plein air, et ce d'autant plus en cas d'exposition directe au soleil, d'une température ambiante élevée ou de travaux physiques lourds. Découvrez ici quelles mesures peuvent permettre d’éviter des problèmes de santé, comme un coup de chaleur.

Table des matières

      En bref

      Une combinaison de différentes mesures permet d’éviter des problèmes de santé aux personnes travaillent par forte chaleur.

      • Par exemple: boire suffisamment, faire plus de pauses, ombrager les postes de travail, adapter les heures de travail.
      • En tant qu’employeur, vous avez la responsabilité de planifier suffisamment tôt des mesures et les mettre en œuvre en temps opportun.
      • Les personnes vulnérables (p. ex. personnes avec des antécédents médicaux) ont besoin de mesures de protection complémentaires.

      Le Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO) et la Suva vous aident à protéger vos équipes de la chaleur. Planifiez vos mesures en utilisant notre liste de contrôle «Travailler à l’extérieur au soleil et par fortes chaleurs» (67135.f).

      Risques liés au travail durant les mois chauds

      Conséquences de la chaleur et de l’ozone: épuisement, vertiges, maux de tête, etc.
      Ces mesures aident en cas de chaleur et d’ensoleillement excessif

      Travailler sous de fortes concentrations d’ozone

      L’ozone est un gaz irritant nocif pour les voies respiratoires et le système cardiovasculaire. Il se forme sous l’action du rayonnement solaire à partir d’oxyde d’azote et d’hydrocarbures organiques. L’intensité du rayonnement solaire est directement corrélé aux valeurs d’ozone. Ce phénomène survient principalement à la fin du printemps et durant l’été. Les valeurs maximales sont atteintes en fin d’après-midi (entre 16h et 18h). De fortes concentrations d’ozone peuvent causer des picotements oculaires, des irritations de la gorge et du pharynx, des difficultés respiratoires et des céphalées. En cas de pic d’ozone, il vaut donc mieux exécuter les travaux extérieurs pénibles dans la matinée.

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