«Je peux définir librement mon programme de stage»
À l’été 2024, Sophia Meunzel a débuté son stage interne (programme de tutorat) à la division informatique. À peine six mois plus tard, elle exerce déjà la fonction de scrum master, toujours dans le cadre de son programme de stage.
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«J’accompagne et je soutiens le team Scrum dans l’élimination des obstacles et la promotion de méthodes de travail agiles afin que les développeurs et développeuses puissent travailler de manière efficace et ciblée.» C’est en ces mots que Sophia Meunzel décrit son stage de scrum master à la division informatique, qu’elle considère comme un tremplin idéal dans la vie professionnelle à l’issue de ses études: «Je peux définir librement mon programme de stage.» Au cours des premiers mois, Sophia a pu découvrir le travail au sein de quatre teams différents et apprendre comment chacun utilisait le framework Scrum. Elle a alors constaté que chaque team fixait des priorités différentes, mais pas uniquement: «Mon regard extérieur a été apprécié, et chaque team était à l’écoute de mes nouvelles impulsions.»
Après cette première phase, Sophia a compris qu’elle pouvait et voulait assumer plus de responsabilités. Elle en a donc parlé à ses supérieurs, qui lui en ont progressivement confié davantage. À la fin de l’année dernière, on lui a demandé si elle pouvait envisager d’occuper un poste de scrum master au sein d’un team. Une tâche requérant certes de considérables efforts, mais dans laquelle Sophia ne se sent pas dépassée: «C’était un processus fluide. Je suis accompagnée tout au long de ce parcours et peux ainsi évoluer dans un cadre protégé.» Pendant ce temps, son stage se poursuit, ce qui donne à Sophia l’assurance nécessaire pour relever ce nouveau défi.
«Je n’ai pas peur d’assumer des responsabilités, car je sais que je ne serai pas livrée à moi-même.»
Sophia Meunzel
Ce qui la conforte également est de savoir qu’elle aurait pu sans problème refuser ce poste de scrum master. «Si j’avais dit qu’il était encore un peu trop tôt pour moi ou que j’avais encore besoin de plus de soutien, le team aurait été à mon écoute et nous aurions cherché ensemble une autre tâche à me confier ou une solution.»
En commençant son stage, Sophia n’avait aucun moyen de prévoir qu’au bout de cinq mois, elle occuperait déjà la fonction de scrum master au sein d’un team, et c’est précisément ce qu’elle estime être un atout de cette formation: «Dès le début, on a été à mon écoute, et j’ai eu la possibilité de donner une orientation concrète à ma formation.» Le stage interne de scrum master permet également d’interagir avec d’autres divisions.
Pour Sophia, la formation durera encore un peu moins d’un an, à la suite de quoi elle se voit bien rester à la Suva: «J’ai le sentiment de pouvoir évoluer à la Suva même au-delà du stage, sur le plan tant professionnel que personnel.»